La fiscalité des objets réalisés en métaux précieux (ce dernier qualificatif étant celui admis en chimie ou dans la vie de tous les jours) est, pour le moins, incomprise par nombre de personnes y compris occupant des responsabilités administratives.
Ces incompréhensions sont pour moi un mystère et en même temps le révélateur de la faiblesse des capacités d’analyse et d’expression des actifs qui sont passés dans les mains du système éducatif français ces dernières trois à quatre décennies.
Si certains commerçants en métaux précieux ont perçu l’opportunité offerte par les dispositions fiscales que j’ai révélées dans mes ouvrages, d’autres maintiennent leurs pratiques aux dépens de leur clientèle, certains par crainte d’avoir à en découdre avec l’administration fiscale, d’autres pour ne pas faire mentir la devise éternelle des handicapés d’ouverture d’esprit: “on a toujours fait comme ça !”.
Si la documentation fiscale en matière d’objets précieux est étoffée elle présente l’avantage indéniable d’être écrite en français. Il est certain que les rédacteurs de Bercy auraient pu faciliter la vie du lecteur en évitant des homonymies qui brouillent les pistes à la première lecture. Néanmoins n’importe quel lecteur maitrisant la langue et doté d’un niveau standard d’analyse est en mesure de comprendre cette littérature.
Avec ces deux capacités ce lecteur devrait arriver aux conclusions qui sont rassemblées dans le tableau ci-dessous.
L’utilisation de ces informations et leur diffusion sont libres de droit, je vous demande simplement de bien vouloir citer le lien URL de cette page.
Vos commentaires seront bien entendus toujours les bienvenus, que ce soit pour éclaircir un élément du tableau, pour faire une proposition ou bien encore pour révéler une erreur ou une une coquille.
Metci Yannick pour cette synthèse.